▷ Le meilleur plan cul de Martine sur Paris

Le meilleur plan cul de Martine sur Paris

Afin de situer le contexte, je vais vous donner quelques détails qui vous permettront de mieux appréhender ce récit.Mon épouse et moi-même, travaillons tous les deux.Nous appartenons à la catégorie des cadres moyens et sommes dans la quarantaine bien tassée.Martine, ma femme a tout de la petite bourgeoise BCBG assez timide et donnant l’impression d’être coincée.Nos enfants sont grands et nous apprécions beaucoup nos week-ends à deux qui nous permettent de nous évader. Nous ne sommes pas des fans inconditionnels de la capitale, mais nous aimons de temps à autres passer ces fins de semaine à Paris.C’est à environ deux heures de route de chez nous. Nous y allons la plus part du temps en train et utilisons les transports en commun sur place. Nous avons pris l’habitude de réserver une chambre dans un petit hôtel pas trop cher, prés du canal saint Martin. De là nous parcourons la ville.Nous aimons flâner le long de la Seine et le soir venu, profiter des spectacles plus variés que ceux de province.Notre dernière visite remonte à fin mai de cette année et elle sera, sans doute, celle qui restera ancrée dans nos esprits.Mon épouse et moi-même avions prévu d’assister à un spectacle au Moulin Rouge, nous avions réservé une table afin de dîner avant la représentation.Nous étions arrivés à l’hôtel en fin d’après midi. Nous avions eu le temps de nous changer tranquillement avant d’appeler un taxi.Martine comme à son habitude était très belle. Elle s’était apprêtée pour la circonstance et avait mis une robe noire en un tissu fin et satiné. J’adorais cette robe, elle était saillante et retombait en drapé symétrique du dessous de ses seins jusqu’en bas. Assez courte, elle lui arrivait à peine à mi-cuisses, elle avait une fâcheuse tendance à remonter, phénomène dû aux élastiques qui formaient le drapé. A vrai dire je pense que c’est à cause de cette fâcheuse tendance que je l’aimais bien et qu’Martine rechignait à la mettre. Elle n’avait pas mis de soutien gorge et l’on pouvait voir la pointe des tétons, érigée sous l’étoffe. J’avais insisté pour qu’elle ne mette pas de slip mais en vain, elle avait passé un petit string brésilien par-dessus son porte jarretelles. Elle avait pris avec elle un petit blouson court en cuir au cas où la fraîcheur tomberait et le taxi nous déposa à l’entrée du Moulin Rouge. Il y avait une petite file d’attente sur le trottoir. Nous prenions notre place, à la queue et attendions notre tour en avançant petit à petit en discutant.Quinze minutes plus tard, nous étions assis l’un en face de l’autre en bout de table.La salle se remplit rapidement et les places vides autour de nous furent rapidement comblées.Quatre hommes « costard cravate », s’installèrent à côté de nous. Ils y avaient deux personnes de type européen et deux autres de type asiatique. Ils n’avaient pas l’air très gais. Mais qu’importe, l’objet de notre visite était le spectacle et nous étions plutôt bien placés. Ce qui était le plus gênant venait du fait que chaque centimètre carré de la salle était exploité et que nous étions un peu les uns sur les autres, rendant toute conversation privée impossible.Le repas fut servi rapidement, simple mais bon, le tout accompagné de champagne. Nous avions terminé et discutions de choses et d’autres et plus particulièrement de nos dernières vacances à côté d’Avignon quand l’homme assis à côté de Martine nous interpella.« Excusez-moi de m’immiscer dans votre conversation mais je vous ai entendu bien malgré moi parler de vos vacances. J’étais dans le même village de gîtes, et à priori, pendant la même période que vous, nous aurions pu nous rencontrer. Madame, à vrai dire, a un visage qui me dit quelque chose » « Le monde est vraiment petit » Répondis-je poliment. Nous discutâmes un peu de ces vacances et des endroits que nous avions visités. Il s’avérait en effet que cette personne ainsi que son épouse, avaient visité et vus des endroits et spectacles identiques à ceux que nous avions découverts là-bas. « Nous sommes ici pour le travail avec des clients japonais, ils raffolent de ce type de spectacle » Reprit-il. « Enchanté » Dis-je en les saluant de la tête. Les trois autres nous saluèrent mais « notre voisin de vacances » nous précisa que ces deux personnes ne parlaient pas le français et que l’anglais était de rigueur. Nous échangeâmes quelques mots avec l’autre Français puis le spectacle commença. Le spectacle était de qualité et nous ne regrettions pas d’être venu. Les filles étaient splendides ainsi que leurs compagnons et les frous-frous égaillaient chaque scène. De temps à autres un illusionniste ou un jongleur entrecoupait les danses. Nos voisins de table nous offrirent quelques coupes de pétillant, il est vrai qu’ils n’avaient pas lésiné sur les moyens et que de leur côté, le champagne coulait à flot. Ils avaient l’air plutôt émoustillé et les cravates avaient sauté. Je remarquai que le voisin de Martine se frottait de plus en plus. Il est vrai que nous étions serrés mais je trouvai qu’il était souvent collé à elle. Enfin il est vrai qu’Martine est une très belle femme et que j’aimais que les autres la convoitent. Cela ne m’étonnait pas qu’il se soit rappelé du visage de ma femme. Le spectacle me fit rapidement passer mon petit sursaut de jalousie. Malheureusement toute bonne chose a une fin et la revue se termina. Aussitôt les garçons de salle commencèrent à nettoyer les tables afin de permettre la seconde représentation. « Que faites vous maintenant ? » Nous demanda notre voisin. « Je ne sais pas, nous allons certainement rentrer, il se fait tard et nous n’avons pas notre voiture » « Nous pouvons vous ramener si vous le souhaitez, à moins que vous ne souhaitiez parcourir la ville avec nos amis. Nous avons loué un ”espace” et il y a de la place pour vous » « Qu’en penses-tu » Demandais-je à ma femme ? « Comme tu le sens mais j’aimerais autant rentrer » Me répondit-elle. Je sentais à sa réponse qu’elle n’était pas rassurée de monter dans un véhicule avec des inconnus et un peu éméché de surcroît. Une des particularités de Martine est qu’elle est franchement peureuse et que l’aventure si petite soit-elle ne l’a jamais tentée. Je décidai de la remuer un peu et puisqu’elle m’avait laissé le choix, acceptai l’invitation. Nous finîmes ensemble les bouteilles de champagne restantes et c’est dans les derniers que nous sortîmes de la salle, un peu euphoriques de surcroît. « Bien, en route, nous sommes garés un peu plus loin » Après avoir récupéré nos effets au vestiaire, nous quittâmes le Moulin Rouge et nous nous faufilâmes dans la faune locale afin de suivre notre chauffeur. Martine cramponnait son sac à main, suivant par-là le conseil qui avait été donné par le personnel du cabaret face aux pickpockets qui oeuvrait souvent aux sorties de spectacles. Nous arrivâmes à la voiture, un luxueux “espace” doté de sept places. On me proposa le siège à côté du chauffeur, Martine se retrouva au second rang, coincée entre les Japonais et l’autre Français s’installa à l’arrière. Je me retournai afin de voir si elle était bien installée et constatai que sa robe remontait jusqu’en haut des cuisses et l’on pouvait découvrir ses jolies cuisses blanches, agrémentées de bas noirs et les attaches du porte-jarretelles. Les deux asiatiques l’avaient aussi remarqué et ne lâchaient pas les jambes des yeux. Fier de l’attrait et la séduction que détenait ma femme, je me retournai, face à la route en souriant et nous partîmes. L’ambiance était excellente et les verres de champagne avaient décrispé l’atmosphère et nous rigolions bien, Martine comprise. “Paris by night” La tour Eiffel, les champs Elysée, l’arc de triomphe etc etc, ils nous firent visiter les classiques. Bien que déjà vus, je profitais pleinement de la vue. J’étais assez content de revisiter ces lieux ! Une fois la visite terminée, le chauffeur gara le véhicule et nous demanda en français puis en anglais ce que nous voulions faire. Les Japonais qui s’appelaient « Liu » et « Tchong » demandèrent à visiter les quartiers coquins de Paris. Notre chauffeur et accessoirement ex-voisin de vacances, Jean de son prénom, acquiesça. Il nous expliqua que Liu et Tchong étaient de gros clients potentiels et qu’il ne pouvait refuser leur demande mais qu’il pouvait nous ramener à notre hôtel si nous ne désirions pas les suivre dans les quartiers chauds. J’appréciai cet égard, notamment pour ma femme, mais décidai de poursuivre, Martine, quoiqu’un peu coincée, n’était plus une oie blanche et j’avais envie que l’on s’amuse un peu. Pascal, le passager arrière, se proposa pour prendre le volant, il connaissait bien Paris et allait nous montrer les coins les plus sympas. Je me retournai pour voir notre interlocuteur, Martine était toujours coincée et sa robe était remontée jusqu’au string. Ses deux voisins continuaient à se rincer l’œil et Martine ne semblait pas gênée d’exhiber ses hauts de cuisses bien ouvertes, à moins qu’elle ne s’en soit pas aperçue. Cette situation ne me déplaisait pas, un peu de piment dans notre vie fut-il un peu coquin, était le bienvenu et j’aimais que les autres hommes désirent ma femme et qu’elle les allume un peu et que cela s’arrête là bien entendu. Pascal changea de place avec Jean et il nous conduisit à l’extrémité de la rue saint Denis. Il gara sa voiture et nous commençâmes à déambuler et à regarder ce qu’il y avait à voir. Nos Japonais piaffaient dans leur langue lorsqu’ils apercevaient les attributs de ces dames. Je tenais mon épouse par la taille et nous suivions la petite troupe qui déambulait quelques mètres devant nous, s’arrêtant ça et là au gré du goût de nos asiatiques pour ces jeunes femmes dénudées. La situation me plaisait de plus en plus et ne me laissait pas indifférent, à tel point que je me laissai aller à peloter le cul de Martine en pleine rue. La situation devait l’émoustiller aussi car, elle se laissa faire sans même protester. J’avais remonté la robe jusqu’au bas des fesses et mes doigts touchaient sa peau à la commissure de la fesse et de la cuisse. Les personnes qui nous suivaient devaient apercevoir le début des fesses mais je relativisai notre exhibition en me disant qu’ils devaient surtout regarder les femmes largement plus dénudées sur le long des trottoirs. « Tu es fou » Me dit mon épouse sans essayer d’enlever ma main. Fou, je ne sais pas, excité, il n’y avait pas de doute. Conforté dans mon action par le manque de réaction, je tenais maintenant la fesse nue à pleine main et Martine ne disait toujours rien. Elle devait avoir le cul à l’air maintenant uniquement fendu par le string brésilien qu’elle portait. Nous marchions tranquillement quand je sentis un bras s’appuyer sur le mien en le croisant et une main vint attraper la fesse libre. Martine sursauta et essaya de baisser sa robe en signe de réprobation mais en vain. Ma main et celle de l’inconnu ne lâchèrent pas prise. « Reste calme, on n’ira pas plus loin » Dis-je à mon épouse. « Votre femme ? » Me dit l’inconnu. J’acquiesçais en reprécisant la volonté de Martine de ne pas aller plus loin que le tripotage. L’homme confirma et jura les grands dieux qu’il avait bien compris et félicita Martine sur son cul et sur le reste. Il tenait plus du mac que du gentleman mais je m’en moquais sincèrement. Les faibles protestations de Martine avaient d’ailleurs été de courte durée et certainement de pure forme car elle se laissait maintenant tripoter le cul par deux mains différentes sans rechigner et en gloussant même de plaisir. A une intersection l’homme bifurqua, nous entraînant, dans une étroite ruelle. Il se plaça devant elle, nous obligeant à nous arrêter, je me reculais un peu lui laissant le champ libre. Il l’adossa contre le mur, releva franchement la robe et lui écarta la petite culotte. Il lui passa une main entre les cuisses et lui pelota le minou. Puis gêné par le petit bout de tissus, il s’accroupit, attrapa le string à deux mains et le fit glisser le long des jambes qu’il souleva l’une après l’autre afin de l’enlever et de le glisser dans sa poche. Il se releva en les caressant et il reprit ses activités glissant maintenant l’index dans la fente de ma femme. Celle-ci contre toute attente ne protesta pas et écarta légèrement les cuisses, facilitant ainsi les attouchements. Certaines personnes regardèrent la scène en passant devant la ruelle mais aucun ne s’arrêta pour jouir du spectacle. Tantôt son doigt aller et venait le long du sillon, tantôt il la pénétrait. Il lui délaissa le sexe et l’attrapa par les deux fesses et la serra contre lui afin de la frotter contre son sexe durci à travers l’étoffe de son pantalon .d’abord lentement puis plus fermement, puis il voulut l’embrasser sur la bouche mais elle déroba ses lèvres. Je fus dans l’entre temps, entrepris par deux charmantes dames qui nous avaient suivi et qui m’entraînèrent sous un porche situé au fond de la ruelle à une quinzaine de mètres environ. Elles commencèrent par discuter avec moi puis voyant que je voulais retourner dans la ruelle, me firent tâter leurs attributs. Bien qu’elles aient réussi à me mettre en émoi, je déclinais l’offre poliment. Elles rirent toutes deux après quelques messes basses, je ne sais pourquoi et elles reprirent le chemin de la rue principale en donnant une tape sur les fesses de l’homme qui caressait ma femme. Je me rapprochai de ma femme et de l’homme. Il avait enlevé la robe qui gisait à terre et avait levé Martine par le dessous des cuisses et la tenais sous les fesses. Il continuait à se frotter contre elle avec vigueur. Arrivé à leur niveau, je m’aperçu qu’il ne se frottait plus vraiment, sa braguette était ouverte, son pieu était enfoncé dans la chatte et il était en train de s’envoyer ma femme à grand coup de reins. Un autre homme s’était de même approché et il caressait la poitrine de ma femme. Martine bloquée par le mur avait les yeux fermés. Elle se cramponnait à son amant par les épaules, les ongles enfoncés dans la chemise et le dos. Le sexe allait et venait dans l’intimité que j’avais l’habitude de butiner. J’hésitai à arrêter le jeu qui à mon avis avait déjà été bien plus loin que je ne l’avais voulu. D’un autre côté cette scène me subjuguait. Je laissai faire et contemplai le spectacle. L’amant s’arque bouta dans un dernier soubresaut et s’enfonça au plus profond de mon épouse la comblant de son foutre chaud. L’inconnu venait de la souiller. Il reposa Martine à terre. « Votre femme est une belle salope, elle est vraiment bonne » Me dit-il en se mettant à côté de moi. Pendant ce temps, le second larron, sexe en main préparait la pénétration en levrette. Il avait retourné Martine, les fesses en arrière, les mains sur le mur et s’apprêtait à enfiler ma femme à son tour. Il introduit sa bite dans la chatte grande ouverte et commença à s’activer. Mon épouse ne dit rien se contentant de cabrer les reins pour mieux se faire enfiler. Il la tenait fermement par les hanches et la travailla pendant de longues minutes avant d’envoyer sa semence dans le con de mon épouse. J’étais abasourdi de voir ma femme ainsi se conduire. Le premier homme rejoignit le second et ils partirent en riant, je m’approchai. Martine, toujours le feu au cul, tenta de m’embrasser mais je refusai le baiser, contrarié et perturbé par ce qui venait de se passer, Peloter, tripoter j’étais d’accord, Baiser n’était pas prévu ! Martine s’essuya et remit sa robe. Le slip lui, venait de partir dans la poche de l’inconnu. Une fois présentable et après un petit coup de maquillage, nous rattrapâmes, sans aucun commentaire, notre petit groupe qui n’avait, à priori, pas remarqué ce qui venait de se passer. Il était entré dans un sex-shop pour faire quelques emplettes. Nous restâmes plus sages, d’autant que j’étais assez mauvais de la tournure qu’avait pris notre jeu. Cette expérience venait de me démontrer que je n’avais pas géré grand-chose, et Martine encore moins. Nous restâmes accroché au groupe qui finit par rejoindre le véhicule. Nos deux Japonais étaient excités et n’arrêtaient plus de parler entre eux dans leur langue d’origine déballant les différents godes qu’ils venaient d’acquérir.. Ce fut Pascal qui les interrompit et leur proposa un second endroit chaud de Paris. Ils acquiescèrent aussitôt et nous réintégrâmes notre véhicule. Chacun reprit sa place et nous repartîmes. « Tu nous emmènes où maintenant » Dit Jean du fond du monospace. « Bois de Boulogne » répondit Pascal « Vous continuez toujours avec nous ? » Nous demanda Jean Avant que je ne puisse répondre, Jean tenta de nous dissuader de venir avec eux, expliquant que la présence d’une femme pouvait poser quelques problèmes dans ces lieux. En effet le bois même éclairé avait de nombreux recoins plus sombres et il n’y avait pas dans cette faune nocturne que des gentils voyeurs et des pères de famille en mal de sensations. Je supposais pour ma part que Liu et Tchong et peut-être eux, avaient envie de se soulager et qu’ils voulaient éviter d’avoir des tierces personnes témoins de leurs actes. D’autant que le bois avait la réputation d’être principalement peuplé de travestis mais je souhaitais continuer. Et puis les problèmes nous les avions déjà eu. Je me retournai et lui répondis positivement sans même consulter ma moitié. « Okay » Me répondit-il. Je constatais par la même que la robe était encore remontée jusqu’au sexe que l’on pouvait maintenant découvrir faute de string. Martine s’épilait régulièrement Il était tout lisse, sans l’ombre d’un poil. Bien bombé et ourlé, il ressemblait à joli abricot prêt à être cueilli, croqué et pénétré. Les lèvres avaient tendance à rentrer vers l’intérieur et donnait du volume à sa petite chatte. C’est certainement ce que devaient se dire nos deux amis asiatiques qui avaient repris leur contemplation de ma femme, enfin d’une partie bien précise de ma femme. « Ne laisser rien à vue dans la voiture » Prévint Pascal. Je crus sur le moment qu’il parlait de le foufoune à ma femme mais il n’en était rien. D’après ses dires il y avait peu de chances de retrouver ses effets personnels si par malheur ceux-ci restaient visibles dans le véhicule, sans parler des dégâts occasionnés pour pénétrer dans la voiture. Un petit bout de temps après, nous arrivions. Après avoir fait le tour en voiture et maté nombre de ces personnes au sexe indéterminé, nous nous garâmes. Nous sortîmes de la voiture. Jean aida galamment Martine qui sortit la dernière. Son abricot dénudé s’ouvrit à lui en dévoilant ses lèvres juteuses et roses lorsqu’elle écarta les cuisses pour sortir de la voiture et je vis qu’il ne resta pas insensible à cette démonstration. Sous prétexte de l’aider il venait de lui passer la main au cul et par-dessous la robe. Martine lui sourit rapidement et il la lâcha. Pascal m’interpella un peu à part pour m’expliquer ce que j’avais pressenti. Il me demanda de bien vouloir rester un peu en arrière de façon à ce que leurs deux invités puissent avoir les coudées franches. Il pensait que cela pourrait les gêner d’avoir une femme à leur côté pour faire ce qu’ils avaient à faire. J’obtempérais, d’autant que je me culpabilisais un peu d’avoir décrypté le message dés le début et de n’avoir rien fait pour leur faciliter la tâche. Ils avaient été sympathiques et conviviaux alors que je ne pensais qu’à moi. Les deux Japonais avaient déjà commencé à avancer, Jean était resté derrière la voiture avec Martine. D’où j’étais je ne voyais rien mais trouvait qu’il était vraiment très pré d’elle. Elle, était adossée au véhicule et lui en face d’elle les mains en bas. Il devait être en train de lui astiquer le clito ou quelque chose comme ça. Le pire pour moi est qu’elle avait l’air consentante. « Merci et évitez de trop vous éloigner du véhicule, on ne sait jamais » me lança Pascal. Il appela Jean qui se frotta les mains pendant qu’Martine baissait sa robe et ils partirent rejoindre les autres compères. Je décidai de ne pas faire de scène et j’expliquai la situation à Martine qui fut plutôt contente de ne pas s’enfoncer dans le bois. Coquine oui, téméraire non. Ils m’avaient confié la clef et la voiture. « Que fait-on » Dis-je à Martine. « Je rentrerais bien dans la voiture » Répondit-elle. Je lui proposais de marcher un peu afin de profiter un peu du spectacle mais sans s’éloigner de trop et en restant sur les trottoirs bien éclairés. Pas trop rassurée, elle accepta. Nous délaissâmes la voiture et commençâmes à nous enfoncer dans ces lieux de déperditions. Il y avait assez peu de monde le long des trottoirs. A priori le spectacle était un peu plus sous la lisière du bois. Doucement, j’entraînais ma compagne vers le bois mais toujours sans y entrer. Martine ne dit rien et se laissa guider. Nous fûmes rapidement accostés par une superbe créature qui n’avait de l’homme que la voix. Ses seins auraient fait pâlir de jalousie plus d’une minette et son corps était splendide. « On peut faire ça tous les trois » Dit-il ou dit-elle essayant de féminiser sa voix. J’avais envie de jouer le jeu et de connaître les tarifs sans pour cela passer à l’acte. J’entraînai à nouveau Martine, accrochée à mon bras. Suivant le travesti, nous nous enfonçâmes subrepticement dans le bois. Celui-ci déclina son programme ainsi que ses prix. Il m’attrapa la main qu’il mit d’autorité sur son sein. « J’suis sur qu’ils sont plus fermes que ceux de ta pute » Me dit-il. Et joignant la parole aux actes attrapa le sein de Martine. « Hum! pas mal » Dit-il Martine se recula. Le travesti voyant qu’elle avait peur de lui, se rapprocha d’elle à nouveau, Martine recula encore. Il fit semblant de lui courir après et Martine détala. « C’est vraiment une trouillarde » Me dit-il de sa voix nasillarde Je le laissais sans répondre afin de rejoindre Martine qui attendait à une dizaine de mètres à moitié cachée par la pénombre et les fourrés. Je lui proposais de rejoindre la voiture, Proposition qu’elle accepta sur-le-champ. Martine s’était un peu enfoncé dans les bois et nous reprîmes le chemin inverse en restant dans le bois. Si Martine avait eu peur, la situation m’avait assez émoustillé et je sentais mon sexe se raidir dans mon pantalon. Tout ce qui venait de se passer à vrai dire répondait à mes fantasmes les plus fous. J’étais maintenant partagé entre un sentiment de culpabilité, de jalousie et d’envie de continuer. Je m’arrêtais et attrapais Martine pour l’embrasser fougueusement. Heureuse de voir mon attitude envers elle, changer, elle répondit instantanément à mon baiser. Mais surtout je pensai à ce moment qu’elle avait toujours le feu au cul. Je passai ma main entre ses cuisses et commençai à caresser la fente et le clito. Comme je le soupçonnais Martine était déjà bien humide, le doigté de Jean devait y être pour quelque chose. Nous étions cachés des regards de la route mais la lumière des réverbères ajoutée à celle de la lune presque pleine, suffisait à se distinguer plus que correctement. Des yeux de voyeurs nous entouraient. Je relevai la robe et appuyai Martine contre un arbre. Ses seins laiteux étaient denses et fermes et je me complaisais à les pétrir et à les sucer pendant que je conditionnais son joli sexe bombé à recevoir un phallus. Il était trempé et dégoulinait tant il était avide de sexe. J’avais remarqué que nous étions épiés et cette situation m’excitait encore plus. Un plan venait de germer dans ma tête, une petite vengeance au comportement de ma femme. Nous avions déjà fait l’amour en forêt prés de chez nous mais jamais dans un tel contexte. Le bois était un haut lieu du sexe, tout n’était que sexe ici. Notre désir était à son paroxysme. Je retournai Martine, lui relevai la robe par-dessus la tête qui coincée en dessous des bras, la rendait pratiquement aveugle. Je la positionnai face à l’arbre de sorte à ce qu’elle s’appuie sur le tronc en me présentant sa croupe. Je lui passai longuement la main entre les fesses caressant de l’anus jusqu’au mont de vénus. Martine était prête, dégoulinante à souhait, tendant la croupe telle une chienne en chaleur. Elle écartait les cuisses autant qu’elle le pouvait et les lèvres ouvertes de sa foufoune étaient une invitation à la pénétration. Elle était vraiment fendue comme une reine et chaude comme une chienne. Un groupe d’une demi-douzaine d’homme s’était approché en silence et admirait le spectacle. La plupart avaient le sexe en main et se branlaient. « Ne bouge pas » dis-je à mon épouse Je reculai d’un demi-mètre et présentai, d’un geste auguste et gracieux de la main, le cul offert de ma femme. L’homme le plus proche était à environ un mètre, il s’approcha le sexe tendu dans la main, il avait ôté le pantalon et le slip qui gisaient à terre. Son Phallus sans être extraordinaire était de bonne taille, il attrapa une fesse qu’il écarta d’une main ouvrit les lèvres humides à l’aide de deux doigts, ajusta son gland à l’entrée de la vulve de mon épouse et s’engouffra lentement mais sûrement dans la chaude intimité de ma femme qui gémit de plaisir. Son vit disparut complètement dans le trou d’amour, fouillant les recoins les plus secrets de Martine. Il l’attrapa par les hanches et commença un lent va et vient, accompagné des petits gémissements de ma compagne qui à priori n’avait pas découvert la supercherie. Les seins ballottaient au rythme de la pénétration, les hanches étaient creusées afin de profiter au mieux du pieu qui remplissait son ventre. On pouvait entendre un léger bruit de succion lorsque le sexe ressortait de l’anatomie de son amante. Il la prenait lentement et profondément, se reculant à la limite de la sortie du sexe et entrant au maximum dans un coup de reins violent Dans un feulement rauque, l’homme jouit, s’enfonçant sauvagement dans la petite chatte, il emplit de sa semence le jardin secret de ma petite femme, envoyant ses spermatozoïdes à l’assaut de ses ovaires, le jus inondant le ventre qui avait porté mes enfants Le sexe se dégonfla et fut lentement éjecté du sexe de Martine. Il se retira et fut remplacé aussitôt par un gros bonhomme au sexe monstrueux. Il arriva lui aussi le sexe tendu dans la main attrapa Martine par les hanches et lui enfila ses vingt bons centimètres d’un seul trait, fort de la lubrification que venait de laisser son prédécesseur. Le vagin accueilli ce nouveau visiteur sans retenue. Par contre Martine compris que la situation n’était pas celle qu’elle croyait et se débattit en m’appelant. « Ta gueule » Lui ordonna l’homme tout en commençant à la buriner « Laisser moi » Gémit doucement ma femme, submergée par le désir non assouvi de sa première passe. Mais l’homme la maintint fermement et l’énorme phallus qui frottait tendrement ses chairs eut raison de sa raison. Elle cessa de se débattre et arqua sa croupe à son second amant du bois. Pendant que l’homme lui martelait l’intimité, un autre se rapprocha et lui ôta les bras de l’arbre sur lequel ils reposaient. Il attrapa la robe qui lui cachait le visage et l’enleva. Martine n’avait plus maintenant que son porte-jarretelles, ses bas et un homme dans le vagin. D’une main le nouveau attrapa Martine par les cheveux et lui amena le visage au niveau de son phallus qu’il tenait de l’autre main. Son gland était proéminent, dénotant de la verge, somme toute, assez fine. Elle essaya de détourner la tête mais l’homme la secoua par les cheveux et lui posa le bout de sa queue à l’entrée de la bouche et il la força. La bouche s’ouvrit et le sexe s’enfourna. Elle engloutit le tout sans autre réticence. Il prit la bouche et s’en servit comme d’un sexe. Martine s’aida de ses mains afin de mieux réconforter l’homme qui l’enfournait. On pouvait apercevoir les deux pieux qui entraient et ressortaient de ma femme pendant qu’un troisième larron qui venait de s’approcher, lui entreprenait les seins. Je vis que les soins prodigués avec la bouche de Martine avaient été efficaces au coup de rein final que donna l’homme pour jouir au plus profond la gorge, remplissant la bouche et l’estomac. Martine était une experte en fellation et elle ne laissait jamais une goutte de sperme se perdre vous aspirant jusqu’à la lie, quitte parfois à vous faire mal au bout du gland sensibilisé. Elle l’aspira tant qu’il du lui repousser la tête afin qu’elle lâche son phallus devenu tout flasque. Martine n’eut pas le temps d’avoir des regrets car un autre homme s’était déjà installé dans sa cavité buccale. Le petit gros déversa son jus d’amour dans le ventre de Martine qui pour le coup tenait plus du sac à sperme qu’à une gentille épouse un peu BCBG qu’elle était normalement. Aucune personne n’aurait jamais pu penser qu’elle puisse se conduire comme une pute (et hormis ceux qui ont bénéficié ou bénéficient de son corps c’est encore vrai aujourd’hui). Comme quoi il ne faut jamais juger les gens à leur apparence ! Les soubresauts terminés, il se retira. Aussitôt un autre gus arriva et l’enfila à son tour. Martine n’avait toujours pas joui, il est vrai que si elle adorait se faire enfiler par de bons calibres, (un concombre, un saucisson, une bouteille de vin, etc. ne lui faisait pas peur), elle n’en restait pas moins clitoridienne et il était rare qu’elle prenne son pied lorsque je ne lui stimulai pas le petit bouton rose. Elle continuait de se faire empaler de tous les côtés, seul l’anus n’avait pas encore été investi. J’aimais voir mon épouse se faire prendre comme une chienne, voir que sa raison était dominée par les joies de son ventre. En tout cas ma vengeance avait l’air de lui convenir. De nouveau sa bouche fut remplie et ses entrailles aspergées de sperme. A peine un homme sortait de ma femme qu’un autre prenait le relais. Deux hommes de couleur noire prirent Martine en main. Deux blacks avec de queues énormes s’apprêtaient à la baiser, je m’approchai d’eux « Enculez-là » Dis-je ! Martine n’était pas une adepte assidue de la sodomie mais je l’avais déjà fait jouir en la pénétrant de ce côté et en caressant simultanément le clito. « D’accord » Répondit l’un des noirs. Il prépara son sexe. Sans mentir celui ci devait dépasser les vingt-cinq centimètres avec un diamètre hors norme. Il commença par s’attaquer au vagin. Il présenta son pieu devant l’accès vaginal grand ouvert et conquis le territoire intime de Martine. Après quelques allers-retours qui lui servirent à lubrifier la verge, il écarta les fesses des deux mains, présenta son gland devant l’entrée bis et commença à pousser doucement afin de forcer le passage. Le gland s’engagea un peu dans le trou du cul. Il ressortit et recommença la manœuvre. Petit à petit l’anus, telle une fleur, s’ouvrit et le gland disparu dans les intestins de ma femme. Martine cria un peu mais elle fut muselée par le second noir qui venait de lui remplir la bouche. Bien que moins membré que son compagnon son phallus était de bonne taille et il n’arrivait pas à entrer complètement dans la cavité buccale de mon épouse, d’autant que le diamètre important obligeait Martine à l’ouvrir au maximum. Elle fut obligée de bloquer le sexe avec sa main de sorte qu’il ne puisse s’enfoncer trop profond dans la gorge. De l’autre côté le gland ne cessait de conquérir du terrain, l’anus commençait à se lubrifier et la progression s’avérait plus facile, plus de la moitié du sexe s’enfonçait et ressortait maintenant dans les entrailles de mon épouse. Le plaisir avait du prendre sur la souffrance car elle arquait de nouveau son cul afin de mieux s’offrir à cette gigantesque bite. Les trois quarts de la queue étaient à l’intérieur. Et la progression continuait. Il allait et venait maintenant dans le cul de ma femme comme il le faisait dans sa vulve avec en prime des gémissements plus que significatifs quant au plaisir apporté. Le sexe noir s’enfonça complètement dans l’anus, je n’aurais pas pensé qu’un engin pareil puisse tenir dans un si petit cul. Et quel cul mes amis, si vous pouviez le voir, un beau petit cul bien bombé et fendu sur toute sa longueur. Un petit cul qui donne envie de tout lâcher pour venir se l’enfiler. Un petit cul à black en l’occurrence. Voir cette grosse bite noire qui s’enfonçait en force dans le petit cul tout blanc de mon épouse était vraiment excitant. Pour faire plus simple Martine en prenait plein le cul. Le black après un nombre impressionnant d’aller-retour éjacula, noyant les intestins de Martine de sa semence chaude et poisseuse. Il éjacula en s’enfonçant jusqu’à la garde dans le cul de mon épouse et il y resta, même une fois les longs soubresauts de jouissance terminés. Le noir ne se retira pas, il se maintint fermement en place agrippant Martine par les hanches et il attendit, scotché au pétard de ma bourgeoise. Pendant ce temps elle épongea son amant buccal de manière irréversible et lorsqu’il sortit de sa gorge, son sexe ramolli n’avait plus une goutte de sperme de disponible Elle avait tout avalé, passant sa langue sur ses lèvres afin de vérifier qu’aucun

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